Semaine du 28/05/2013 à 22h00 au 04/06/2013 à 22h00
La semaine est terminée, place aux réponses…
Mosquito Coast
(The Mosquito Coast)
imdb
de Peter Weir
— 1986
Kerity, la maison des contes
(Kerity, la maison des contes)
imdb
de Dominique Monféry
— 2009
Natanaël a bientôt 7 ans, mais il ne sait toujours pas lire... Lorsque sa tante Eléonore lui lègue sa bibliothèque contenant des centaines de livres, Natanaël est très déçu !
Pourtant, chacun de ces contes va livrer un merveilleux secret : à la nuit tombée les petits héros, la délicieuse Alice, la méchante fée Carabosse, le terrible capitaine Crochet, sortent des livres...
Ils doivent prévenir Natanaël qu'ils courent un grand danger et risquent de disparaître à jamais.
Pour sauver ses minuscules amis et leurs histoires, Natanaël, rétréci par la Fée Carabosse, se lance dans l'aventure !
Il affrontera vaillamment le très fourbe Ramastou, les crabes géants, l'Ogre affamé...
Arrivera-t-il à temps à lire la formule magique qui les sauvera tous ?
Ce n'est pas parce que c'est inventé que ça n'existe pas !
Le dessin est très joli et c'est une belle histoire pour parler d'une période qui peut être problématique pour les enfants.
— proposé par Marikat
Lame de fond
(White Squall)
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de Ridley Scott
— 1996
Ce film de Ridley Scott est l'adaptation d'un livre, narrant les aventures de l'Albatross, voilier qui sombra dans les années 60 au large de la Floride alors qu'il avait à son bord plusieurs adolescents, partis en école de voile.
— proposé par Sstarshoot
Wadjda
(Wadjda)
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de Haifaa Al-Mansour
— 2012
Très belle surprise de ce début d'année. Le genre de film que je rechigne à aller voir de peur que les aspects politiques et religieux soient trop prononcés.
En fait c'est un film simple et efficace, où chacun peut faire son interprétation (ou confirmer ses préjugés). Et surtout une formidable description de la vie des enfants, de la place de la femme, de la religion dans la société arabe. On y apprend beaucoup de choses.
— proposé par Treyan
L'oiseau bleu
(The blue bird)
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de Walter Lang
— 1940
Mytyl et son frère Tyltyl partent à la recherche de l'Oiseau bleu du bonheur au cours d'un voyage fantastique à travers passé, présent et futur.
Les films des années 40 ont vraiment du charme je trouve et en France (ou de nos jours ?) on ne connait plus les films de la petite princesse (d'ailleurs c'est grâce au FRCD que j'en ai enfin vu un, celui-ci ).
— proposé par Marikat
Emprise
(Frailty)
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de Bill Paxton
— 2001
Le Texas vit sous la terreur d'un tueur en série qui se fait appeler "La Main de Dieu". Un soir, un homme sans histoire, Fenton Meiks, se présente au QG du FBI et déclare connaître l'identité du coupable. Ce dangereux criminel ne serait autre que son frère, Adam, qui vient de se suicider.
Alors qu'ils roulent en direction du "Jardin des roses", où les corps des victimes d'Adam sont enterrées, Fenton raconte aux agents fédéraux comment tout a commencé vingt ans plus tôt, en 1979. A l'époque, il était âgé de douze ans et son frère de neuf. Tous deux vivaient une enfance heureuse avec leur père, veuf depuis la naissance d'Adam. Pourtant, une nuit, leur vie bascula lorsque leur père leur annonça qu'un "ange" lui était apparu et qu'ils devaient accomplir une mission. Alors que l'un des deux fils accepte sans réserve cette vision divine, l'autre pense que son père sombre dans la démence.
— proposé par Udontknowme
Mysterious Skin
(Mysterious Skin)
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de Gregg Araki
— 2004
Grosse claque avec ce film très dérangeant de Gregg Araki.
Ou comment montrer deux gamins ayant deux réactions totalement différentes suite à ce qu'ils n'auraient jamais dû subir.
Découverte de Joseph Gordon-Levitt, génial dans ce rôle.
— proposé par Sstarshoot
Couleur de peau: Miel
(Couleur de peau: Miel)
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de Laurent Boileau, Jung
— 2012
— proposé par Maelle
Kolya
(Kolja)
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de Jan Svěrák
— 1996
Prague, 1989. Louka, violoncelliste tchèque, consent pour éponger ses dettes à un mariage blanc avec une jeune Russe. Le lendemain des noces, la jeune femme s'enfuit pour l'Allemagne en laissant son petit garçon : Kolya. Louka se voit alors dans l'obligation d'héberger l'enfant...
Oscar et Golden globe 1996 du meilleur film étranger.
Une pure merveille, émouvante, tendre et profonde.
— proposé par Lauds
Rouge comme le ciel
(Rosso come il cielo)
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de Cristiano Bortone
— 2006
Mirco perd la vue à l’âge de dix ans et doit poursuivre sa scolarité dans un institut spécialisé. Loin de son père, il ne peut plus partager avec lui sa passion du cinéma. Il trouve pourtant le moyen de donner vie aux histoires qu’il s’invente : il enregistre des sons sur un magnétophone puis coupe les bandes, les colle et les réécoute. L’école très stricte n’approuve pas du tout ses expériences et fait tout pour l’en écarter. Mais Mirco, loin de se résigner, poursuit sa passion...
Un très joli film sur le handicap, comment l'aborder et comment l'accepter, je vous le recommande vivement.
— proposé par Yullie
Billy Elliot
(Billy Elliot)
imdb
de Stephen Daldry
— 2000
Dans un petit village minier du Nord-Est de l'Angleterre, Billy, onze ans, découvre avec stupeur qu'un cours de danse partage désormais les mêmes locaux que son club de boxe. D'abord effaré, il devient peu à peu fasciné par la magie de la gestuelle du ballet, activité pourtant trop peu virile au regard de son père et de son frère Tony, mineurs en grève.
Billy abandonne les gants de cuir pour assister discrètement aux leçons de danse professées par Mme Wilkinson. Repérant immédiatement un talent potentiel, elle retrouve une nouvelle énergie devant les espoirs que constitue Billy.
Les frustrations larvées explosent au grand jour quand son père et son frère découvrent que Billy a dépensé l'argent consacré au cours de boxe pour des cours de danse.
Partagé entre une famille en situation de crise et un professeur de ballet têtu, le jeune garçon embarque alors dans un voyage à la découverte de lui-même.
— proposé par Udontknowme
Au revoir les enfants
(Au revoir les enfants)
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de Louis Malle
— 1987
"Quand on avait dix ans, en l'an 87"... on n'a pas pu rater ce film, et il me semble qu'il a dû toucher beaucoup de jeunes de cette génération (oui oui, la mienne )... Pas grand chose à en dire de plus, je ne l'ai pas revu en entier pour vous le proposer, mais en tout cas la fin a bien vieilli, le serrement de coeur est toujours d'actualité...
— proposé par epik
St Trinian's 2
(St Trinian's 2 : The Legend of Fritton's Gold)
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de Olivia Parker/Barnaby Thompson
— 2009
Pourquoi ce film ? Deux mots : David Tennant. Une adaptation d'une BD culte outre Manche, avec pléthore d'acteurs UK renommés, Colin Firth anyone ? Des acteurs sérieux qui ne se prennent pas au sérieux, un grand portnawak sur fond de pop UK.
— proposé par Yeles
Hinokio, l'enfant robot
(Hinokio)
imdb
de Takahiko Akiyama
— 2005
Plutôt pour un public jeune (tout à fait moi donc !), ce film de science fiction nous fait découvrir un petit garçon qui, suite à un accident de voiture dans lequel il a perdu sa mère, a tellement peur des gens qu'il choisit de reprendre les cours à l'école, à travers les yeux d'un robot qu'il pilote à distance.
— proposé par Maelle
Nos jours heureux
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de Olivier Nakache, Eric Toledano
— 2006
Vincent Rousseau dirige pour la première fois une colonie de vacances et se retrouve plongé pendant trois semaines dans l'univers des colos avec petites histoires et gros soucis à la clef ! Vincent se retrouve alors confronté à la vie mouvementée du camp, de ses animateurs plus ou moins professionnels et des ados pas toujours évidents à gérer...
— proposé par Udontknowme
Libero
(Anche libero va bene)
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de Kim Rossi Stuart
— 2006
Je vous recommande chaudement ce film, qui suit le jeune Tommi Benetti (indice 2), enfant solitaire de 10 ans dont la mère a quitté le foyer. Les personnages y sont très attachants, notamment le père (joué par Kim Rossi Stuart, indice 1), sorte d'anti-héros un poil Homer Simpsonesque ; il faut le voir faire la morale à ses enfants les parties à l'air, ou se faire humilier sur son lieu de travail devant sa famille pour une histoire de chameau (question).
— proposé par Goldfinger
Mary Poppins
(Mary Poppins)
imdb
de Robert Stevenson
— 1964
Grand classique pour et sur les enfants. Film magnifique et inventif.
Rien ne va plus dans la famille Banks. La nurse vient de donner ses huit jours. Et ni M. Banks, banquier d'affaire, ni son épouse, suffragette active, ne peuvent s'occuper des enfants Jane et Michaël. Ces derniers passent alors une annonce tout à fait fantaisiste pour trouver une nouvelle nurse. C'est Mary Poppins qui répond et apparaît dès le lendemain, portée par le vent d'Est. Elle entraîne aussitôt les enfants dans son univers merveilleux. Un des plus célèbres films de la production Disney.
— proposé par Marikat
Balada Triste
(Balada triste de trompeta)
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de Alex de la Iglesias
— 2010
Dans l’enceinte d’un cirque, les singes crient sauvagement dans leur cage tandis qu’à l’extérieur, les hommes s’entretuent sur la piste d’un tout autre cirque : la guerre civile espagnole. Recruté de force par l’armée républicaine, le clown Auguste se retrouve, dans son costume de scène, au milieu d’une bataille où il finira par perpétrer un massacre à coup de machette au sein du camp national. Quelques années plus tard, sous la dictature de Franco, Javier, le fils du clown milicien, se trouve du travail en tant que clown triste dans un cirque où il va rencontrer un invraisemblable panel de personnages marginaux, comme l’homme canon, le dompteur d’éléphants, un couple en crise, dresseurs de chiens mais surtout un autre clown : un clown brutal, rongé par la haine et le désespoir, Sergio. Les deux clowns vont alors s’affronter sans limite pour l’amour d’une acrobate, la plus belle et la plus cruelle femme du cirque : Natalia.
Film assez barré je dois dire et qui certainement ne réconciliera pas les coulrophobes avec les clowns... une histoire d'amour poussée jusqu'à en devenir fou, une réalisation baroque, du sexe, du sang, bref des moments de grande virtuosité qui côtoient du grand n'importe quoi, j'adore.
— proposé par Yullie
Le tombeau des lucioles
(Hotaru no haka)
imdb
de Isao Takahata
— 1988
Apparemment inédit au FRCD , une solide galère avec Google images , mais ce film me tenait à coeur : à mon sens le film le plus triste que j'aie jamais vu... donc un des plus beaux...
— proposé par epik
Un film de mon adolescence (je précise que je ne l'ai pas vu à sa sortie mais un peu plus tard, hein, d'abord ! ), et qui m'a marquée par la relation père-fils qui y est montrée : de l'adoration à la haine, tous les sentiments complexes qu'un enfant peut éprouver pour son père... Avec un Harrison Ford dans un rôle d'illuminé qui ne lui sera guère courant dans sa carrière (si si, je suis spécialiste d'Harrison Ford), les petites jumelles rousses toutes mimis qu'on n'a jamais revues, et bien sûr River Phoenix, le grand frère rêvé (jusqu'à ce jour d'Halloween 1993...).
Et oui, j'utilise éhontément la fonctionnalité d'images supplémentaires pour mettre des images non pas détectées par Google, mais que j'aime beaucoup... et alors ?! On en profite et on ne râle pas !
— proposé par epik